Война и мир - Лев Толстой (2015)

Война и мир
Хроника битвы также общества, пронятая большим количеством сюжетных направлений, – данное пронизывающий, четкий, широкоформатный также полный мнение разумного мастера в постоянные трудности существования. «Война также мир» – книга-история Льва Николаевича Жирного, согласно глубине также обхвату происшествий вплоть до этих времен расположенный в первоначальный участке в целой международный литературе, - верхушка творчества знаменитого мыслителя, равно как практически никакое иное творение сочинителя отображает глубину его мироощущения также философии. Данная книжка с ряда постоянных, вследствие того то что возлюбленная об абсолютно всем - об существования также кончины, об влюбленности также почтительности, об мужестве также героизме, об популярности также геройском поступке, об борьбе также обществе. Таким Образом рассказывала во июле 1805 годы знаменитая Аня Павловна Шерер, немка также форсированная императрицы Марии Феодоровны, сталкиваясь значимого также чиновного князя Василия, 1-ый приехавшего в ее вечерний час. Аня Павловна перхала ряд суток, около ее был болезнь, равно как возлюбленная рассказывала (болезнь был в то время новейшее термин, употреблявшееся только лишь редчайшими). Во записочках, посланных с утра со красноватым лакеем, существовало прописано в отсутствии отличия в абсолютно всех.

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Voilà le premier acte. Aux suivants l’intérêt et le ridicule montent comme de raison. Après le départ du maréchal il se trouve que nous sommes en vue de l’ennemi, et qu’il faut livrer bataille. Boukshevden est général en chef par droit d’ancienneté, mais le général Benigsen n’est pas de cet avis; d’autant plus qu’il est lui, avec son corps en vue de l’ennemi, et qu’il veut profiter de l’occasion d’une bataille «aus eigener Hand» comme disent les Allemands. Il la donne. C’est la bataille de Poultousk qui est censée être une grande victoire, mais qui a mon avis ne l’est pas du tout. Nous autres pékins avons comme vous savez, une très vilaine habitude de décider du gain ou de la perte d’une bataille. Celui qui s’est retiré après la bataille, l’a perdu, voilà ce que nous disons, et а titre nous avons perdu la bataille de Poultousk. Bref, nous nous retirons après la bataille, mais nous envoyons un courrier а Pétersbourg, qui porte les nouvelles d’une victoire, et le général ne cède pas le commandement en chef а Boukshevden, espérant recevoir de Pètersbourg en reconnaissance de sa victoire le titre de général en chef. Pendant cet interrègne, nous commençons un plan de manœuvres excessivement intéressant et original. Notre but ne consiste pas, comme il devrait l’être, а éviter ou а attaquer l’ennemi; mais uniquement а éviter le général Boukshevden, qui par droit d’ancienneté serait notre cher. Nous poursuivons ce but avec tant d’énergie, que même en passant une rivière qui n’est pas guéable, nous brûlons les ponts pour nous séparer de notre ennemi, qui, pour le moment, n’est pas Bonaparte, mais Boukshevden. Le général Boukshevden a manqué d’être attaqué et pris par des forces ennemies supérieures а cause d’une de nos belles manœuvres qui nous sauvait de lui. Boukshevden nous poursuit – nous filons. A peine passe-t-il de notre côte de la rivière, que nous repassons de l’autre. A la fin notre ennemi Boukshevden nous attrappe et s’attaque а nous. Les deux généraux se fâchent. Il y a même une provocation en duel de la part de Boukshevden et une attaque d’épilepsie de la part de Benigsen. Mais au moment critique le courrier, qui porte la nouvelle de notie victoire de Poultousk, nous apporte de Pétersbourg notre nomination de général en chef, et le premier ennemi Boukshevden est enfoncé: nous pouvons penser au second, а Bonaparte. Mais ne voilà-t-il pas qu’а ce moment se lève devant nous un troisième ennemi, c’est le православное qui demande а grands cris du pain, de la viande, des souchary, du foin, – que sais-je! Les magasins sont vides, les chemins impraticables. Le православное se met а la maraude, et d’une manière dont la dernière campagne ne peut vous donner la moindre idée. La moitié des régiments forme des troupes libres, qui parcourent la contrée en mettant tout а feu et а sang. Les habitants sont ruinés de fond en comble, les hôpitaux regorgent de malades, et la disette est partout. Deux fois le quartier général a été attaqué par des troupes de maraudeurs et le général en chef a été obligé lui-même de demander un bataillon pour les chasser. Dans une de ces attaques on m’a emporté ma malle vide et ma robe de chambre. L’Empereur veut donner le droit а tous les chefs de divisions de fusiller les maraudeurs, mais je crains fort que cela n’oblige une moitié de l’armée de fusiller l’autre».[417]

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