Война и мир - Лев Толстой (2015)

Война и мир
Хроника битвы также общества, пронятая большим количеством сюжетных направлений, – данное пронизывающий, четкий, широкоформатный также полный мнение разумного мастера в постоянные трудности существования. «Война также мир» – книга-история Льва Николаевича Жирного, согласно глубине также обхвату происшествий вплоть до этих времен расположенный в первоначальный участке в целой международный литературе, - верхушка творчества знаменитого мыслителя, равно как практически никакое иное творение сочинителя отображает глубину его мироощущения также философии. Данная книжка с ряда постоянных, вследствие того то что возлюбленная об абсолютно всем - об существования также кончины, об влюбленности также почтительности, об мужестве также героизме, об популярности также геройском поступке, об борьбе также обществе. Таким Образом рассказывала во июле 1805 годы знаменитая Аня Павловна Шерер, немка также форсированная императрицы Марии Феодоровны, сталкиваясь значимого также чиновного князя Василия, 1-ый приехавшего в ее вечерний час. Аня Павловна перхала ряд суток, около ее был болезнь, равно как возлюбленная рассказывала (болезнь был в то время новейшее термин, употреблявшееся только лишь редчайшими). Во записочках, посланных с утра со красноватым лакеем, существовало прописано в отсутствии отличия в абсолютно всех.

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La nouvelle de la mort du comte Безухов nous est parvenue avant votre lettre, et mon père en a été très affecté. Il dit que c’était l’avant-dernier représentant du grand siècle, et qu’а présent c’est son tour; mais qu’il fera son possible pour que son tour vienne le plus tard possible. Que dieu nous garde de ce terrible malheur! Je ne puis partager votre opinion sur Pierre que j’ai connu enfant. Il me paraissait toujours avoir un cœur excellent, et s’est la qualité que j’estime le plus dans les gens. Quant а son héritage et au rôle qu’y a joué le prince Basile, c’est bien triste pour tous les deux. Ah! chère amie, la parole de notre divin sauveur qu’il est plus aisé а un chameau de passer par le trou d’une aiguille, qu’il ne l’est а un riche d’entrer dans le royaume de dieu, cette parole est terriblement vraie; je plains le prince Basile et je regrette encore davantage Pierre. Si jeune et accablé de cette richesse, que de tentations n’aura-t-il pas а subir! Si on me demandait ce que je désirerais le plus au monde, ce serait d’être plus pauvre que le plus pauvre des mendiants. Mille grâces, chère amie, pour l’ouvrage que vous m’envoyez, et qui fait si grande fureur chez vous. Cependant, puisque vous me dites qu’au milieu de plusieurs bonnes choses il y en a d’autres que la faible conception humaine ne peut atteindre, il me paraît assez inutile de s’occuper d’une lecture inintelligible; qui par là même ne pourrait être d’aucun fruit. Je n’ai jamais pu comprendre la passion qu’ont certaines personnes de s’embrouiller l’entendement en s’attachant а des livres mystiques, qui n’élèvent que des doutes dans leurs esprits, exaltent leur imagination et leur donnent un caractère d’exagération tout а fait contraire а la simplicité chrétienne. Lisons les apôtres et l’Evangile. Ne cherchons pas а pénétrer ce que ceux-là renferment de mystérieux, car, comment oserions-nous, misérables pécheurs que nous sommes, prétendre а nous initier dans les secrets terribles et sacrés de la providence, tant que nous portons cette dépouille charnelle, qui élève entre nous et l’éternel un voile impénétrable? Bornons-nous donc а étudier les principes sublimes que notre divin sauveur nous a laissé pour notre conduite ici-bas; cherchons а nous y conformer et а les suivre, persuadons-nous que moins nous donnons d’essor а notre faible esprit humain et plus il est agréable а dieu, qui rejette toute science ne venant pas de lui; que moins nous cherchons а approfondir ce qu’il lui a plu de dérober а notre connaissance, et plutôt il nous en accordera la découverte par son divin esprit.

Mon père ne m’a pas parlé du prétendant, mais il m’a dit seulement qu’il a reçu une lettre et attendait une visite du prince Basile. Pour ce qui est du projet de mariage qui me regarde, je vous dirai, chère et excellente amie, que le mariage selon moi, est une institution divine а laquelle il faut se conformer. Quelque pénible que cela soit pour moi, si le Tout-Puissant m’impose jamais les devoirs d’épouse et de mère, je tâcherai de les remplir aussi fidèlement que je le pourrai, sans m’inquiéter de l’examen de mes sentiments а l’égard de celui qu’il me donnera pour époux.

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